Dans le journal Accès de cette semaine, madame Frédérique David, se prononce contre ou du moins critique les "défusionistes". Généralement je suis plutôt en accord avec les propos de la rédactrice d'Accès Laurentides. Mais pas aujourd'hui.
Personnellement les défusions je suis ni pour ni contre, en réalité je m'en "sacre" royalement, c'est pas mon problème. Ce qui me dérange par contre, c'est cette espèce de mépris qui semble avoir contaminé tout les journalistes du Québec envers ceux qu'on nomment les défusionistes.
À mon avis ce n'est pas vraiement important de savoir qui a raison entre ceux qui veulent rester dans la grande ville et ceux qui veulent en sortir. Il y a probablement autant de bonnes raisons de vouloir faire partie d'une grande ville, qu'il y en a de vouloir habiter un petit village, chacun a droit à son opinion sur cette question. Mais l'important c'est que la décision soit prise par ceux qui sont concernés. Les journalistes, les éditorialistes devraient se réjouir que le gouvernement redonne le droit au citoyens de choisir.
Les gens qui iront voter pour ou contre les fusions ne sont majoritairement pas des imbéciles, ni des débiles profonds, ce ne sont pas non plus des enfants de 7 ans? Alors?! C'est quoi le problème de les laisser décider? C'est quoi l'affaire d'être contre la démocratie? Pardon, mais je comprend pas???